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Michaël Quistrebert
| 2003 | 2002 |
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La trace de l’infiniment moyen…celle-ci existe, c’est l’echelle 1/1 version ∞. Il suffit d’y penser pour que cette échelle respire autour de nous-mêmes , dès sa première inhalation, elle suggère qu’on l’investisse en abandonnant, paradoxalement, la pensée même qui nous à ammené à sa rencontre.
L’infiniment moyen contient de la folie en petites doses vivement recommandées, et la tièdeur est un bon outil pour s’en approcher. mais on préfère échapper à cette tièdeur (37°cc) et imaginer des températures probables, possibles, des températures qui rondent les -500°cc ou les +5000°cc.
Si l’on se fixe sur ces 37°cc il arrive que la folie raisonnablement dosée se manifeste au trot. Effectivement l’infiniment moyen est composé d’un hasard de formes sans qu’on sache pourquoi un chien peste de n’avoir autre forme que celle d’un chien. Ceci peut être trés inquietant pour un esprit insatisfait. L’appréhension de l’infiniment moyen combine la trace et l’action en un seul mouvement, disolvant l’acte spéculateur tout en posant triomphalement des points d’interrogations, comme un dossier classé par défaut.
Bernatas & Quistreber en été 200 |
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